Contenus en rapport avec le mot-clé Mécanisme européen de stabilité

Comme l’ont montré les débats et les résultats du premier tour de l’élection présidentielle, les Français ne sont guère favorables à plus d’intégration européenne, ce qui pourrait fragiliser l'objectif poursuivi par Emmanuel Macron.

Le ministère des Finances annonce une baisse des dépenses de 3,6 milliards d’euros pour les 4 premiers mois de l’année 2015, en profitant de l’arrêt du versement au mécanisme européen de stabilité, pour 3,3 milliards d’euros.

Dans l'œil des marchés : Jean-Jacques Netter, vice-président de l'Institut des Libertés, dresse, chaque mardi, un panorama de ce qu'écrivent les analystes financiers et politiques les plus en vue du marché.

La cour de Karlsruhe va rendre son verdict sur la légalité du Mécanisme européen de stabilité. Une décision qui fait débat en Allemagne.

La situation budgétaire de la France au 30 juin est publiée ce vendredi. Depuis 2007, certains politiques aux affaires n'hésitent plus à parler d'un état de faillite.

Plutôt que de réclamer un changement de cap de la politique d'austérité de l'Europe, il serait plus judicieux de mettre en œuvre rapidement la possibilité de négocier des "contrats" budgétaires spécifiques entre la Commission et les pays de l'Eurozone.

Les ministres des Finances de la zone euro se réunissent ce jeudi afin de déterminer si le Mécanisme européen de stabilité (MES), censé sauver les banques en difficulté, pourra intervenir directement ou s'il devra nécessairement passer par les Etats.

Le nouveau gouvernement japonais a annoncé qu'il allait acquérir des titres émis par le Mécanisme européen de Stabilité afin de participer à la stabilisation de la zone euro.

Le Conseil fédéral d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) s'est prononcé par 77 voix contre 24 et 8 votes blancs contre la ratification du pacte budgétaire. Comment nos voisins européens perçoivent-ils les dissensions au sein de l'exécutif français ?

Alors que la Cour de Karlsruhe doit rendre ce mercredi sa décision qui déterminera l'avenir du Mécanisme européen de stabilité, des voix s'élèvent pour critiquer son rôle omniprésent et son pouvoir politique considérable.

Alors que Shell a décidé de retirer 15 milliards de dollars des banques européennes, le fonds souverain norvégien souhaite se désengager de ses pétrodollars en zone euro en faveur des pays émergents. Faut-il craindre une fuite des investisseurs de la zone euro ?

La réunion de l'Eurogroupe du 9 juillet a permis d'accorder un répit à l'Espagne et de faire baisser le taux d'emprunt des pays en difficulté. Mais les marchés restent dans le rouge et l'euro continue à descendre face au dollar.

Le Premier ministre s'exprime ce mercredi devant le Sénat, tandis que l'Assemblée nationale débat sur les résultats du dernier sommet européen. Si la victoire des pays du Sud a été largement médiatisée, rares sont ceux qui ont soulevé la création d’une autorité européenne de supervision bancaire. Un projet cher à la chancelière allemande.

Le dernier sommet européen a débouché sur un accord permettant au MES d'intervenir sur le marché secondaire pour acheter la dette publique des États en difficulté. La Finlande s'est prononcée contre, mais ne pèse pas suffisamment dans le volume du MES pour raviver les inquiétudes des marchés financiers.

La cour constitutionnelle allemande pourrait empêcher la mise en place du MES.

Dans l’œil des marchés : Jean-Jacques Netter, vice-président de l'Institut des Libertés, dresse, chaque mardi, un panorama de ce qu'écrivent les analystes financiers et politiques les plus en vue du marché.

La majorité des deux tiers nécessaires à l’adoption du texte par le parlement autrichien semble assurée grâce au feu vert des écologistes.

L'Eurogroupe a validé la demande d'aide de l'Espagne et envisage de soutenir Chypre.

Jean-Marc Ayrault a reconnu qu’il faudrait des années avant de pouvoir introduire des euro-obligations.

Y a-t-il encore un sens à rembourser des dettes publiques qui ne sont plus génératrices de croissance ? Un moratoire des créanciers privés serait insuffisant. C'est à un programme général de remise des dettes dans la zone euro sous l'égide de la BCE qu'il faut réfléchir. (1/3)